Pragmatique et sans langue de bois, Luc Granger manie tour à tour la douche froide et l’espoir. « La crise économique a rendu le marché plus complexe, plus difficile à comprendre et les prises de décisions doivent être de plus en plus rapides, ce qui augmente le risque d’erreur. Mais en parallèle elle nous a amené à être plus créatifs, plus ouverts sur le monde et ses opportunités. S’il n’y a pas, par exemple, aujourd’hui d’intérêt à investir dans l’immobilier en France, il n’en va pas de même à Edimbourg ou Berlin. Nous devons élargir notre champ d’investigation et d’analyse à tous les supports et tous les pays pour conseiller au mieux nos clients ».